Toujours plus…

A l’approche du départ, nous avons maintenant un itinéraire assez précis. Assez ouvert mais précis, vous voyez ? En tous cas, nous nous projetons assez bien sur cet itinéraire, construit à la fois avec des rêves d’enfants, d’autres d’adultes, mais aussi des contraintes, volontaires et involontaires.
Nous avons choisi de voyager au maximum par voie terrestre pour limiter notre impact environnemental. Nous avons choisi de ne pas nous presser, et de ne pas tout voir. Déjà parce qu’il serait bien prétentieux de vouloir tout voir, et ensuite parce qu’on ne voyage pas un an comme on voyage deux ou trois semaines ; nous devons nous ménager pour tenir sur la durée.
Quand nous parlons de ce projet, nous parlons de “voyage”. Ce sont les interactions et les réactions qui font que nous nommons ce grand voyage un “tour du monde”. Pour faire vite, et aussi parce qu’effectivement, on va bien tourner autour de la Terre, mais nous avons bien conscience que nous n’en ferons pas le tour, et n’en foulerons pas l’ensemble de sa surface. Alors oui, c’est peut-être “dommage” de ne pas aller quelques centaines de kilomètres plus loin pour aller au Laos, ou au Tibet, ou à New York, ou au Mexique, ou à Bali… mais c’est aussi un choix.
“Et sinon, vous n’allez pas en Afrique ?” ^_^
Relisez un peu plus haut, nous avons décidé de voyager par voie terrestre, pour limiter les avions…
Et puis bon, autant garder quelques morceaux de Terre à aller voir plus tard, non ?
“[…] de ne pas aller quelques centaines de kilomètres plus loin pour aller au Laos, […]”
Ah bon? Vous n’allez pas au Laos ??!
#privatejoke
#runninggag
En tout cas je serai content de lire votre voyage !
@+ donc.